Sigamary Diarra, vous avez longtemps galéré avant d'arriver dans le monde professionnel…
Je me dis surtout que j'ai réussi à franchir tous les obstacles. Même si un moment j'ai eu un petit doute, j'ai toujours eu confiance en mes qualités et j'ai su persévérer.
Avez-vous un peu de rancœur vis-à-vis de certaines personnes ?
Je n'ai pas vraiment de rancœur. Je garde des bons souvenirs en général. Mais c'est vrai qu'à Laval, c'était compliqué. La période Denis Troch et ma deuxième saison là-bas, je n'en garde pas des bons souvenirs. Mais je ne jette la pierre sur personne. La meilleure des réponses à donner aux gens qui avaient tort, je la donne maintenant en jouant au foot et en alignant les bonnes performances. C'est le meilleur moyen de leur prouver que j'ai toujours cru en moi et qu'ils auraient du faire pareil.
Pourquoi vous surnomme-t-on « Schokobon » ?
Ah non, je ne suis pas au courant moi (rires)… On m'a appelé comme ça à Tours. Je crois que c'est parce que ça a une belle forme et c'est un bon chocolat (rires).
Vous êtes originaire d'Aulnay-sous-Bois en région parisienne. Vos performances doivent être très suivies…
Par rapport à ça, je suis conscient que pour le coup, je suis un exemple. Donc j'essaie toujours de répondre présent là où on croit en moi. Et mes amis sont fiers de moi et ils sont persuadés que je peux aller encore plus haut. C'est auprès d'eux que je puise ma force et c'est grâce à eux que je n'ai pas lâché dans des moments difficiles.
Forcément, le PSG a une saveur particulière pour vous…
C'est normal. Quand j'étais petit, j'ai été bercé par le PSG. Quand on grandit à Paris, il y a toujours un lien spécial avec ce club. Et le Paris de l'époque, tout le monde s'en souvient encore.
A Lorient, vous étiez ami avec Laurent Koscielny. Ne vous manque-t-il pas trop depuis qu'il a signé à Arsenal ?
Il me manque car j'ai joué trois ans avec lui (ndlr : à Tours et à Lorient) et c'est un joueur de qualité. En tant que personne aussi. On sait très bien que dans le milieu du football on est amené à se côtoyer puis à se séparer. Mais j'essaie de le contacter au moins une fois par semaine pour avoir de ses nouvelles.
A-t-il fait des efforts en anglais ?
En tout cas, il progresse (rires). Mais il a encore un sale accent.
Le Rap occupe une place importante dans votre vie. Quels sont vos artistes préférés ?
Déjà, il y a Sefyu parce qu'il vient d'Aulnay-sous-Bois. En plus, je le connais un peu. Mais sinon, j'aime aussi Booba car pour moi, c'est le numéro un du rap français. Il y a aussi La Fouine et Diam's. Et bien sûr, Kery James. Pour moi, c'est un rappeur légendaire.
A l'image du duo Rohff-Benzema, peut-on vous voir un jour derrière le micro ?
Non, je n'y pense pas. A moins que ce soit pour une reconversion. Et encore, vu comment je chante, je ne pense pas que ça pourrait aller.
Je me dis surtout que j'ai réussi à franchir tous les obstacles. Même si un moment j'ai eu un petit doute, j'ai toujours eu confiance en mes qualités et j'ai su persévérer.
Avez-vous un peu de rancœur vis-à-vis de certaines personnes ?
Je n'ai pas vraiment de rancœur. Je garde des bons souvenirs en général. Mais c'est vrai qu'à Laval, c'était compliqué. La période Denis Troch et ma deuxième saison là-bas, je n'en garde pas des bons souvenirs. Mais je ne jette la pierre sur personne. La meilleure des réponses à donner aux gens qui avaient tort, je la donne maintenant en jouant au foot et en alignant les bonnes performances. C'est le meilleur moyen de leur prouver que j'ai toujours cru en moi et qu'ils auraient du faire pareil.
Pourquoi vous surnomme-t-on « Schokobon » ?
Ah non, je ne suis pas au courant moi (rires)… On m'a appelé comme ça à Tours. Je crois que c'est parce que ça a une belle forme et c'est un bon chocolat (rires).
Vous êtes originaire d'Aulnay-sous-Bois en région parisienne. Vos performances doivent être très suivies…
Par rapport à ça, je suis conscient que pour le coup, je suis un exemple. Donc j'essaie toujours de répondre présent là où on croit en moi. Et mes amis sont fiers de moi et ils sont persuadés que je peux aller encore plus haut. C'est auprès d'eux que je puise ma force et c'est grâce à eux que je n'ai pas lâché dans des moments difficiles.
Forcément, le PSG a une saveur particulière pour vous…
C'est normal. Quand j'étais petit, j'ai été bercé par le PSG. Quand on grandit à Paris, il y a toujours un lien spécial avec ce club. Et le Paris de l'époque, tout le monde s'en souvient encore.
A Lorient, vous étiez ami avec Laurent Koscielny. Ne vous manque-t-il pas trop depuis qu'il a signé à Arsenal ?
Il me manque car j'ai joué trois ans avec lui (ndlr : à Tours et à Lorient) et c'est un joueur de qualité. En tant que personne aussi. On sait très bien que dans le milieu du football on est amené à se côtoyer puis à se séparer. Mais j'essaie de le contacter au moins une fois par semaine pour avoir de ses nouvelles.
A-t-il fait des efforts en anglais ?
En tout cas, il progresse (rires). Mais il a encore un sale accent.
Le Rap occupe une place importante dans votre vie. Quels sont vos artistes préférés ?
Déjà, il y a Sefyu parce qu'il vient d'Aulnay-sous-Bois. En plus, je le connais un peu. Mais sinon, j'aime aussi Booba car pour moi, c'est le numéro un du rap français. Il y a aussi La Fouine et Diam's. Et bien sûr, Kery James. Pour moi, c'est un rappeur légendaire.
A l'image du duo Rohff-Benzema, peut-on vous voir un jour derrière le micro ?
Non, je n'y pense pas. A moins que ce soit pour une reconversion. Et encore, vu comment je chante, je ne pense pas que ça pourrait aller.
Vous êtes également branché cinéma. Quel est votre dernier film ?
Le dernier film que j'ai vu, c'est « Sex Friends ».
Et ?
Ce n'était pas un bon film, je n'ai pas aimé. En revanche, le dernier film que j'ai vu et que j'ai aimé, c'est « Que justice soit faite » avec Jamie Foxx et Gérard Butler.
Vous êtes plutôt PES ou FIFA ?
Ah moi, je suis un fidèle à PES. Je n'ai pas envie de changer de bord même après les dernières critiques. Je reste sur PES et je n'ai même pas envie d'essayer FIFA.
Est-ce que Sigamary Diarra est fort dans PES ?
Il ne se débrouille pas mal mais j'ai encore du mal à marquer avec lui. En même temps avec Lorient, c'est difficile.
Football365.fr
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